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Bon, ne tergiversons pas , et c'est suffisamment rare dans mon cas pour être souligné , je n'ai pas pas adhéré à ce livre ou, autre hypothèse, je suis passé complètement à côté. On y parle de sorcières , d'incendies, de sabbat, de meurtres fort sanglants et on traverse trois époques, toute fin XIXème, toute fin des années 40, et tout début du XXIéme, et figurez-vous que je n'ai pas trouvé le lien entre les différents personnages, à l'exception peut-être de cette appétence pour la sorcellerie, et des passages très ésotériques de Macbeth, mais pourquoi? Maxine Grant, inspectrice québécoise, est appelé en urgence sur les lieux d'un crime épouvantable, celui de Philippe Caron, un universitaire réputé, marié à Pauline , l'ancienne institutrice fort appréciée du village, en état quasi catatonique devant chez elle. Alors quand les enquêteurs vont retrouver sept mains coupées à leur domicile, les policiers Maxine , Jules et la psy Gina vont devoir s'interroger. Puis nous retournons en 1899 avec Lucienne qui vient de perdre dramatiquement ses deux enfants dans l'incendie de leur maison, ensuite en 1949/50 avec Lina, bref et pardon, mais j'ai trouvé cet opus très confus, avec une construction fort alambiquée, pétrie d'entrelacs d'une inutile complexité, sans thématique précise, voire un satanisme de pacotille. En un mot comme en cent , je me suis ennuyé lors de cette lecture, et comme vous le savez dorénavant, l'ennui dans un livre, c'est mon grand ennemi.  NSP. 

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